Dans un contexte où les projets se multiplient et se complexifient, le project management s’impose comme un cadre structurant pour transformer une idée en résultat concret. Il permet de définir clairement les objectifs, de mobiliser les bonnes compétences et de piloter les ressources tout au long du cycle de vie du projet.
Mais que signifie réellement gérer un projet ?
- Quelles sont les étapes essentielles, des premières décisions stratégiques jusqu’à la clôture ?
- Quelles méthodes privilégier entre approches traditionnelles, agiles ou hybrides ?
- Quels outils et certifications garantissent une gestion performante et reconnue ?
Ce guide complet répond à ces questions et met en lumière les opportunités offertes aux project managers au sein de Qim info.
Qu’est-ce que le project management ?
Le project management, ou gestion de projet, consiste à mobiliser des ressources humaines, techniques et financières pour atteindre un objectif précis dans un temps défini. Chaque projet est structuré en phases, planifiées avec une date de début et une date de fin. Selon les contraintes, certaines étapes peuvent s’enchaîner, d’autres se chevaucher pour respecter les délais. Concrètement, gérer un projet revient à :
- définir les objectifs et les indicateurs de réussite,
- mobiliser les bonnes compétences au bon moment,
- piloter efficacement les coûts, les délais et les risques,
- assurer la cohérence entre la stratégie initiale et les résultats livrés.
Le project manager occupe une place centrale dans cette dynamique : il agit comme un facilitateur, structure le projet en tâches claires, coordonne les parties prenantes, sécurise et cadre les décisions, et veille à la qualité des livrables.
Les 5 grandes phases du project management
Initiation
Cette phase consiste à préciser la raison d’être du projet : pourquoi il est lancé, quels bénéfices il doit apporter à l’organisation et quels enjeux stratégiques il doit couvrir. Elle inclut l’identification des parties prenantes et la vérification de la faisabilité. Les objectifs stratégiques, les coûts estimés, les bénéfices attendus et les principaux risques sont ensuite consignés dans une charte ou un business case. Trop souvent négligée, cette étape conditionne pourtant la réussite : un cadrage clair évite les ambiguïtés et assure que tous les acteurs partagent la même vision.
Pour cadrer efficacement, il est utile de formaliser les besoins dans un cahier des charges, document qui définit clairement les objectifs et les attentes du projet. Découvrez notre article dédié ici.
Planification
Une fois la finalité confirmée, la planification transforme cette vision en un plan concret. Elle repose sur quatre piliers :
- Objectifs opérationnels, pour préciser les résultats attendus.
- Calendrier structuré, avec étapes et jalons.
- Ressources définies, en termes de moyens et de responsabilités.
- Analyse des risques, pour anticiper les difficultés et prévoir les plans de mitigation.
Cette étape intègre également des outils de gouvernance essentiels. La matrice RACI permet de répartir clairement les rôles : qui est responsable (Responsible), qui rend des comptes (Accountable), qui doit être consulté (Consulted) et qui doit être tenu informé (Informed). Elle garantit une compréhension partagée des responsabilités et évite les zones d’ombre dans la gouvernance du projet.
L’analyse des risques se formalise dans un registre dédié, document vivant qui recense chaque risque identifié, sa probabilité, son impact et les plans de mitigation associés. Mis à jour tout au long du projet, il constitue une référence pour anticiper et limiter les imprévus.
Enfin, la planification inclut la définition des indicateurs de performance et se conclut par une réunion de lancement, où la feuille de route est validée collectivement.
Exécution
L’exécution est la phase où la vision se concrétise et où les livrables prennent forme. Le chef de projet coordonne les équipes, répartit les tâches et s’assure que les moyens nécessaires sont disponibles. Il doit aussi arbitrer entre les priorités, clarifier les zones d’ombre et communiquer régulièrement afin de maintenir la cohésion et l’alignement de tous les acteurs. Des outils collaboratifs comme Asana, Jira ou Trello apportent transparence et suivi en temps réel. La réussite repose sur :
- une gestion optimale des ressources,
- un pilotage précis à l’aide de KPI et de tableaux de bord,
- une flexibilité constante pour ajuster le plan en cas d’imprévu.
Dans les approches agiles, l’exécution s’appuie sur le backlog produit, qui centralise et hiérarchise les fonctionnalités à développer. Régulièrement affiné avec les parties prenantes, il permet de concentrer les efforts sur les livrables à plus forte valeur ajoutée.
Suivi et contrôle
Cette phase permet de s’assurer que le projet progresse selon les attentes tout en optimisant l’utilisation des ressources. Les principaux KPI portent sur le respect des délais, l’utilisation du budget, l’avancement des tâches et le retour sur investissement.
Pour piloter efficacement, les chefs de projet s’appuient sur :
- des tableaux de bord dynamiques Power BI,
- des diagrammes de Gantt pour la planification,
- des Kanban pour visualiser les flux.
Les pratiques clés incluent les réunions d’alignement régulières, la mise à jour du calendrier et la réaffectation des ressources si nécessaire. Ce suivi reste évolutif : il permet d’anticiper les obstacles et d’adapter la trajectoire. Le registre des risques y joue un rôle central, puisqu’il est mis à jour au fil de l’avancement pour ajuster les stratégies de mitigation et maintenir une gouvernance proactive face aux imprévus.
Clôture
La clôture confirme la livraison des résultats attendus et marque la fin du projet. Elle offre l’occasion de capitaliser sur l’expérience et d’améliorer les pratiques futures. Les actions majeures incluent :
- un bilan collectif pour analyser réussites et difficultés,
- l’évaluation des KPI et des retours d’expérience,
- l’archivage des documents essentiels, assurant la transmission des connaissances et la continuité des futurs projets,
- la mise en place d’un plan d’amélioration pour les projets futurs.
Les principales méthodes de project management
Une méthode de gestion de projet fournit un cadre composé de pratiques, de techniques et de règles qui guident les chefs de projet dans la conduite de leurs missions. Elle permet de répondre à des questions simples mais cruciales : quoi faire, quand, comment et pourquoi.
On distingue principalement trois grandes approches :
Méthodes traditionnelles
Ces méthodes reposent sur une logique séquentielle : chaque phase doit être achevée avant de passer à la suivante. Elles sont adaptées aux projets où les besoins sont clairement établis dès le départ.
Parmi les modèles les plus connus :
- Waterfall (cascade) propose un déroulement linéaire, de l’analyse à la livraison. Elle assure une forte visibilité mais reste coûteuse à ajuster si des changements surviennent. Elle est idéale pour des projets réglementaires où les spécifications ne peuvent pas évoluer, comme une mise en conformité RGPD.
- Cycle en V introduit un contrôle renforcé : chaque étape de conception possède sa phase de test, ce qui limite les erreurs détectées trop tard.
- Prince2® structure le projet autour de processus et de thèmes comme la qualité, la planification ou la gestion des risques. Elle est largement utilisée dans l’IT et les projets complexes.
Les méthodes traditionnelles garantissent une forte visibilité sur les coûts, les délais et les livrables. En revanche, leur rigidité peut constituer une limite dans des contextes où les besoins évoluent rapidement ou lorsque le périmètre du projet reste incertain.
Méthodes agiles
Conçues pour plus de flexibilité, les méthodes agiles misent sur l’adaptation continue, la collaboration avec les parties prenantes et des cycles courts de développement, favorisant une rapidité de mise en valeur et une meilleure satisfaction des utilisateurs.
- Scrum organise le travail en sprints de quelques semaines, avec des rôles définis (Product Owner, Scrum Master, équipe) et des rituels de suivi.
- Kanban repose sur un tableau visuel qui fluidifie la production et met en évidence les blocages.
- Lean vise à maximiser la valeur en éliminant gaspillages, déséquilibres et surcharges.
- Scrumban combine la planification structurée de Scrum et la flexibilité de Kanban.
Ces approches privilégient la communication et la réactivité. Elles sont aujourd’hui incontournables dans le développement logiciel et les projets de transformation digitale.
Méthodes hybrides et nouvelles approches
De nombreuses organisations optent pour un modèle hybride, combinant la structure des méthodes traditionnelles et la souplesse des méthodes agiles. Cette approche permet d’appliquer une logique séquentielle aux phases réglementées tout en conservant une démarche itérative pour la conception ou le développement.
De nouvelles pratiques viennent aussi enrichir ce paysage :
- Design Thinking, qui place l’innovation et l’expérience utilisateur au centre.
- DevOps, qui rapproche les équipes de développement et d’exploitation afin d’accélérer les déploiements et d’améliorer la qualité.
- Scaled Agile (SAFe, LeSS, Disciplined Agile Delivery), qui adapte les principes agiles à l’échelle d’une organisation pour assurer la cohérence entre plusieurs équipes et aligner les projets avec les objectifs stratégiques.
- Value-driven delivery, qui met l’accent sur la création de valeur mesurable pour l’entreprise et les utilisateurs, plutôt que sur la seule livraison de livrables.
Ces évolutions traduisent une tendance de fond : la gestion de projet devient un système flexible, où chaque organisation compose sa propre approche en fonction de ses enjeux et de sa culture interne.
Outils incontournables en gestion de projet
Les outils numériques jouent un rôle central dans la réussite des projets modernes. Ils permettent de structurer les tâches, de faciliter la collaboration et de fournir une vision claire de l’avancement. Leur diversité reflète les différents niveaux de complexité des projets : du simple suivi de tâches à la gestion de portefeuilles multi-projets.
Microsoft Project
Microsoft Project est l’un des outils les plus complets pour organiser et piloter des projets. Conçu à la fois pour la planification et la collaboration, il offre une vision globale de l’avancement grâce à son système de timeline.
Ses principales caractéristiques :
- Polyvalence méthodologique : gestion en cascade, agile (Scrum, Kanban) ou hybride, selon le mode de travail choisi par l’équipe.
- Planification avancée : création de calendriers précis, estimation de la durée des tâches et des ressources nécessaires grâce à la planification dynamique.
- Collaboration intégrée : interaction en temps réel entre les équipes, avec une intégration native à Microsoft Teams pour partager des fichiers et centraliser les échanges.
- Suivi détaillé : gestion des dépendances entre tâches, allocation des ressources, analyse des coûts et ajustements en cours de projet.
- Sécurité et fiabilité : hébergement sur Azure, le cloud Microsoft, garantissant un haut niveau de protection des données.
Microsoft Project s’adresse avant tout aux organisations qui souhaitent centraliser la gestion de projet dans un outil unique, capable de s’adapter aussi bien à des projets simples qu’à des programmes complexes impliquant plusieurs équipes.
Trello, Asana, Jira, Confluence, Notion, Azure DevOps
Les solutions collaboratives ont révolutionné la gestion de projet grâce à leur accessibilité et leur souplesse.
- Trello repose sur une logique de tableaux et de cartes, simple à comprendre et à déployer. Il est idéal pour les petites équipes ou les projets ponctuels qui nécessitent surtout une bonne visibilité des tâches en cours.
- Asana va plus loin avec la gestion des workflows, des dépendances et la possibilité d’automatiser certaines étapes. Il s’adapte parfaitement aux équipes pluridisciplinaires et aux projets où la coordination est essentielle.
- Jira, incontournable dans les environnements agiles, facilite le suivi des sprints, la gestion des backlogs et la priorisation des tâches. Utilisé conjointement avec Confluence, il permet de documenter les décisions, partager les comptes rendus et centraliser l’information, renforçant ainsi un pilotage agile, transparent et collaboratif.
- Notion se démarque par sa polyvalence : au-delà de la gestion de tâches, il permet de créer une véritable base de connaissances d’équipe. Chaque espace de travail peut être entièrement personnalisé, ce qui le rend aussi efficace pour le suivi de projets que pour la documentation collaborative.
- Azure DevOps combine gestion de projet agile et intégration continue/déploiement continu (CI/CD). Il offre un environnement complet pour planifier, développer, tester et livrer des applications, tout en intégrant nativement les pratiques DevOps et le suivi des backlogs.
Ces outils sont généralement adoptés pour leur simplicité de mise en œuvre, leur interface intuitive et leur capacité à favoriser la collaboration en temps réel.
Pour en savoir plus sur Asana, Notion ou Trello, consultez notre article : Les 10 meilleurs outils collaboratifs.
SAP, Oracle et suites intégrées
Les suites intégrées de gestion de projet s’adressent aux grandes organisations qui souhaitent relier la conduite de leurs projets aux autres fonctions stratégiques de l’entreprise : finances, ressources humaines, achats ou supply chain. Parmi elles, SAP et Oracle dominent le marché, chacune avec ses spécificités.
- SAP se distingue par sa modularité et sa profondeur fonctionnelle. Très utilisé dans les secteurs industriels et logistiques, il permet une gestion fine et personnalisée des processus métier. Sa capacité à intégrer des données issues de multiples départements en fait une référence pour les entreprises aux opérations complexes et fortement réglementées.
- Oracle, quant à lui, met l’accent sur la puissance analytique et l’exploitation des données. Sa plateforme cloud (Oracle Cloud ERP) est conçue pour traiter de grands volumes d’informations et fournir des analyses en temps réel. Cela en fait un choix privilégié pour les organisations qui recherchent de la réactivité et une vision immédiate de la performance.
Ces deux solutions offrent une vision centralisée des ressources, des coûts et des résultats, tout en garantissant traçabilité et conformité. Leur déploiement reste cependant un investissement lourd, nécessitant des ajustements organisationnels et une formation poussée des équipes.
Elles s’imposent surtout dans les contextes de projets stratégiques et multi-départements, où l’intégration avec l’ensemble du système d’information et la fiabilité des données sont des conditions de réussite essentielles.
Comparaison des outils selon les besoins
Catégorie | Outils concernés | Usages idéaux | Limites |
Gestion simple | Trello, Notion | Suivi visuel des tâches, projets ponctuels ou petites équipes, documentation collaborative. | Fonctionnalités limitées pour les projets complexes. |
Gestion avancée | Asana, Jira, Confluence, Azure DevOps | Coordination pluridisciplinaire, environnements agiles, suivi de sprints, backlogs et dépendances. | Mise en place plus exigeante, courbe d’apprentissage pour Jira. |
Gestion structurée | Microsoft Project | Planification détaillée, allocation des ressources, projets complexes avec contraintes de coûts et délais. | Complexité de l’outil, besoin de formation pour une adoption efficace. |
Suites intégrées | SAP, Oracle | Projets stratégiques multi-départements, forte intégration avec finances, RH et supply chain, conformité et traçabilité. | Déploiement coûteux et lourd, adaptation organisationnelle nécessaire. |
PMI, PMP et autres certifications en project management
Dans un marché où la gestion de projet est de plus en plus stratégique, les certifications jouent un rôle déterminant. Elles renforcent la crédibilité des professionnels, témoignent d’un haut niveau de compétences et ouvrent l’accès à des opportunités de carrière internationales.
Project Management Institute (PMI)
Le PMI est l’organisme international de référence en matière de gestion de projet. Fondé en 1969, il regroupe aujourd’hui plus de 600 000 membres et propose des standards largement adoptés dans les entreprises.
Ses principales contributions :
- Le PMBOK®, guide méthodologique qui structure les pratiques de gestion de projet.
- La mise à disposition de certifications reconnues dans le monde entier (PMP, CAPM, PgMP, etc.).
- Une communauté mondiale d’échanges et de mise à jour des bonnes pratiques.
Project Management Professiona (PMP)
La certification PMP, délivrée par le PMI, est la plus reconnue au niveau mondial. Elle valide une expertise complète en gestion de projet et constitue un véritable accélérateur de carrière.
Les points clés de la certification PMP :
- Portée internationale : reconnue dans tous les secteurs et sur tous les continents.
- Référentiel solide : basée sur le PMBOK®, standard de la profession.
- Public visé : chefs de projet expérimentés, avec un minimum d’heures de pratique validée.
- Compétences certifiées : planification, gestion des risques, suivi des coûts, pilotage des parties prenantes.
- Impact sur la carrière : selon le PMI (Earning Power Report, 13ᵉ édition, 2023), les titulaires de la certification PMP perçoivent en moyenne 33% de rémunération supérieure à celle des non-certifiés.
Autres certifications reconnues
En complément du PMP, plusieurs certifications sont largement reconnues et valorisées dans le domaine de la gestion de projet. Elles permettent aux professionnels d’adapter leur expertise selon les méthodes et contextes organisationnels.
- PRINCE2® (Projects IN Controlled Environments) : méthodologie très répandue, notamment en Europe. Elle repose sur une approche par processus et offre un cadre clair pour gérer des projets complexes, en mettant l’accent sur la gouvernance, la maîtrise des risques et la justification permanente du projet.
- AgilePM® (Agile Project Management) : certification délivrée par APMG International. Elle vise à concilier la flexibilité des méthodes agiles avec la rigueur de la gestion de projet. Basée sur le cadre DSDM, elle fournit des outils pour prioriser les besoins, structurer les rôles et livrer de la valeur de manière incrémentale.
- CAPM® (Certified Associate in Project Management) : proposée par le PMI, cette certification constitue une première étape vers une carrière en gestion de projet. Elle valide les connaissances fondamentales et s’adresse particulièrement aux jeunes diplômés ou aux professionnels en reconversion.
- Certified ScrumMaster (SCM) : délivrée par la Scrum Alliance, cette certification est destinée aux environnements agiles. Elle valide la maîtrise du framework Scrum et la capacité à accompagner une équipe dans son application. Le Scrum Master certifié agit comme facilitateur : il aide l’équipe à s’auto-organiser, supprime les obstacles et s’assure que les principes agiles sont bien respectés.
Ensemble, ces certifications couvrent un large spectre de pratiques, allant des approches séquentielles et fortement gouvernées aux environnements agiles et collaboratifs. Elles permettent aux chefs de projet de renforcer leur profil et de s’adapter aux besoins spécifiques des organisations.
Pourquoi devenir project manager chez Qim info ?
Rejoindre Qim info en tant que project manager, c’est intégrer une entreprise en forte croissance, reconnue pour la qualité de ses services numériques et son ancrage solide en Suisse et en France. Avec plus de 600 collaborateurs et une expertise couvrant un large éventail de secteurs, Qim info offre aux chefs de projet un environnement stimulant où ils peuvent mettre en pratique leur savoir-faire et évoluer au contact de missions variées.
Domaine d’intervention du project manager
Chez Qim info, les project managers accompagnent les clients dans la réussite de leurs projets stratégiques, en veillant à la bonne coordination des équipes et au respect des objectifs. Leurs missions couvrent plusieurs domaines :
- IT et développement logiciel : pilotage de projets de conception et de déploiement applicatif, souvent réalisés en méthodes agiles.
- Infrastructure et cloud : accompagnement dans la modernisation des systèmes, la migration vers le cloud et la sécurisation des environnements.
- Transformation digitale : gestion d’initiatives visant à optimiser les processus métiers, améliorer l’expérience utilisateur et introduire de nouvelles technologies.
- Secteurs variés : banque, assurance, santé, industrie, services publics, où les besoins en gestion de projet sont stratégiques et nécessitent des compétences adaptées.
En collaborant étroitement avec les équipes de consultants et les clients, le project manager chez Qim info devient un acteur clé de la réussite des projets, tout en ayant la possibilité de développer une expertise sectorielle ou méthodologique (agile, hybride, traditionnelle).
Pour en savoir plus sur le métier de chef de projet IT, consulter notre article : Fiche métier : chef de projet IT.
Salaire et évolution de carrière
Chez Qim info en Suisse, la carrière d’un project manager évolue selon les compétences développées et l’expérience acquise auprès des clients. Implantée à Genève (Carouge et Petit-Lancy), Lausanne, Zürich et Bâle, l’entreprise encourage activement ses collaborateurs à suivre des formations certifiantes et leur offre les moyens nécessaires pour progresser dans ce développement professionnel.
En Suisse, le salaire d’un project manager IT dépend de plusieurs facteurs : son niveau d’expérience, la localisation du poste, les compétences spécialisées qu’il maîtrise et le type d’entreprise qui l’emploie.
L’évolution de carrière peut mener vers des postes de program manager, où la supervision de plusieurs projets devient centrale, ou vers un rôle de delivery manager, garant de la qualité et de la performance des projets livrés. Certains consultants choisissent également de rejoindre le Project Management Office (PMO) pour définir et piloter les méthodologies de gestion de projet. Avec l’expérience, les project managers peuvent enfin évoluer vers des responsabilités de direction, telles que responsable de département ou directeur de programme, ouvrant la voie à une carrière riche et diversifiée au sein de l’ESN.
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